FRANCA RAVET

2008 / 24,5 x 28,5 cm / 118 pages

Les tableaux de Franca Ravet nous plongent dans un jeu de dominos où chaque pièce, quelque soit son orientation est un maillon d’un dialogue social.

Tout au long du livre, l’artiste nous place face à des silhouettes, des ébauches, des empreintes qui reflètent de façon subtile la tragi-comédie de la vie.

Ce lien puissant entre les tableaux communique par delà la toile et touche le regard qui s’attarde. Le spectateur est convié à une séance picturale.

Le défilement des oeuvres offre un panorama où chaque ombre, chaque forme chuchote et conte son histoire.

Il en résulte un échange précieux pour les aventuriers en quête d’expériences authentique. Le rideau se lève, approchez-vous et écoutez…

Kunty Moureau

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Empreinte d’atelier

Galerie Martine Ehmer / Bruxelles / 2024 / 21 x 21 cm / 25 pages

Franca Ravet nous dévoile une oeuvre fascinante qui repousse les frontières de la conceptualisation artistique. Intitulée « Empreinte d’atelier », cette exposition présente ses dernières oeuvres ainsi que les surfaces mêmes sur lesquelles elle a travaillé pendant deux décennies, transformant ses tables de travail uniques en objets d’art à part entière.

Très privé

Galerie Martine Ehmer / Bruxelles / 2022 / 21 x 21 cm / 20 pages

Pour cette nouvelle exposition personnelle intitulée « Très Privé », Franca Ravet continue l’exploration de ses fragments de souvenirs.

Faux-semblants

Galerie Martine Ehmer / Bruxelles / 2018 / 21 x 21 cm / 18 pages

Comme une suite logique aux « Apparences » de 2016, Franca Ravet revient à la galerie Martine Ehmer avec l’exposition « Faux-semblants » dans laquelle elle approfondit sa quête identitaire.

Les apparences

Galerie Martine Ehmer / Bruxelles / 2016 / 21 x 21 cm / 8 pages

Tout n’est qu’apparence, non ? – Alberto Giacometti

Les questionnements sur l’identité charpentent le travail de Franca Ravet. Elle aime mettre à flot toutes les parcelles d’une pluralité humaine et sociale à travers une graphie forgée de répétitions, de récurrences qu’elle assimile à une empreinte digitale, à la prolifération infinie de l’être. Pour cette nouvelle exposition, l’artiste prolonge la mission qu’elle s’est donnée en s’intéressant aux apparences.

X et roC inversion

Galerie Libre Cours / Bruxelles / 2007 / 21 x 24 cm / 12 pages

« La prolifération cellulaire se paye en perte de mémoire. Nous, les cultivateurs de cellules, nous nous battons avec la mort. »

François Weyergans

Pulsion d’une identité recomposée

L’Art de vie / Montcherand / 2005 / 24 x 24 cm / 12 pages

Je me sens continuellement en recherche d’équilibre sur le fil de mes traits, entre abstraction et une certaine « figuration projetée », obligée de cacher une multitude de dessins afin de mieux les digérer plus tard, les assimiler dans des compositions qui permettent de multiples lectures… »impossibles »